2012年2月27日星期一

Le?on de Style

Le PSG et l’OL se sont affrontés dans un combat sans merci, au final 4 buts à 4. Marseille a perdu à Brest tandis que Lille s’est contenté d’un petit 1-1 à Rennes. Résultat, tout le classement est chamboulé et Montpellier s’installe à la première place du championnat. Hors de France aussi, on a vibré dans les gradins. Ryan Giggs a joué son 900ème matchs avec les Red Devils de Manchester United, le Real Madrid a confirmé sa place de numéro 1 en Liga, et Arsenal a submergé l’équipe de Tottenham lors d’un match épique… Bref, moults rebondissements footballistiques. Des paillettes plein les yeux.

Et au niveau des paillettes, ce n’est rien à c?té de la nouvelle campagne de Nike ? La Silhouette Blanche ?. Fini la marinière ! L’équipementier des Bleus vient en effet de présenter au grand public, le nouveau maillot extérieur de l’Equipe de France.Tenues et galettes pour l'école de foot. Un maillot tout blanc avec des petites lignes bleues sur les manches, classique et élégant, sublimé par un projet artistique mené par Boris Diaw, basketteur émérite et photographe passionné. Sportif ET Artiste. Le monde du basket réserve pas mal de surprises.

Et c’est donc à travers une série de clichés de tout un tas de personnalités arborant ledit maillot, que Boris a décidé de nous présenter sa vision d’élégance à la fran?aise. On retrouve ainsi le Dj Brodinski, le couturier Alexandre Vauthier, ou encore la star du skateboard Alex Olson. Mais aussi le rugbyman Fulgence Ouedraogo, Carl Lewis et Steve Nash, respectivement détenteur de dix médailles olympiques et meneur des Suns de Phoenix qui évoluent en NBA. Les rappeurs Nekfeu et Sneazzy West, membres du collectif 1995 se sont eux aussi prêtés au jeu de la séance photo, ainsi que l’humoriste Eric Judor et Boris Diaw lui-même.

2012年2月20日星期一

Tenues et galettes pour l'école de foot

Jeunes et parents, amis et sponsors, il y avait beaucoup de monde dans la salle de réception de la cave coopérative samedi après-midi. Les membres du club de football, à défaut d’être sur les terrains à cause du gel, avaient plaisir à se retrouver durant cette trêve prolongée.Des tenues en tout genre (maillot, tee-shirt,Les mirages du ballon rond, sac à dos, sac de sport…) pour les petits et les grands, ont été distribuées par Bertrand Mullot, président.

Il a annoncé que le club ira à Lyon pour voir jouer l’OM. Le groupe des U11 participera, en qualité d’animateurs, à la soirée des Sportifs buxynois, vendredi 24 février au gymnase. Et le17 mars, 150 jeunes seront au stade pour des rencontres en plateau pour la réouverture de la saison.Dans ses propos, Bertrand Mullot a lancé un appel à André Coupat, président de la communauté de communes pour la réalisation d’un deuxième gymnase. Ce dernier confirmait la bonne nouvelle : le financement est presque assuré, les études seront lancées pour une mise à disposition des clubs prévisible fin 2013, début 2014.

Après ceux adressés aux sponsors, Bertrand Mullot a remercié la municipalité pour la qualité de l’entretien du stade et des vestiaires.Tout ce que j'aime. L'évolution du football a durci les contacts", a indiqué l'ancien joueur du FC Santos dans les pages du journal L'Equipe avant d'ajouter: "Aujourd'hui, si tu ne mets pas de force dans ton jeu, c'est difficile. En fait, j'ai beaucoup appris au PSV Eindhoven. Au Brésil, il n'y avait pas cette notion de combat qui existe en Europe. Aux Pays-Bas, j'ai compris que le beau jeu n'était pas prioritaire, qu'il fallait mélanger puissance et intelligence." Le défenseur auriverde devra être très attentif ce dimanche soir afin de stopper Olivier Giroud, le talentueux buteur du MHSC..

2012年2月13日星期一

Les mirages du ballon rond

Yannick a cru, de longues années, aux promesses les plus folles de son agent espagnol, qui lui prédisait une carrière sur les plus belles pelouses européennes. En 2006, l'agent le "recrute" à Yaoundé, sa ville natale, pour l'emmener dans son pays. Il a seulement 13 ans. "Et l'agent a demandé à mes parents de payer le billet", raconte Yannick, le troisième d'une famille modeste de neuf enfants. La famille s'endette et paie.Pendant trois ans, il est ballotté de club en club, faisant aussi des essais en Angleterre. Sans toucher un centime. En décembre 2009, son dernier club, Almeria, lui demande de partir : à 16 ans, Yannick ne peut prétendre à un contrat professionnel car ses parents ne vivent pas en Europe, comme l'exige le règlement de la Fédération internationale de football (FIFA).

Quelques jours plus tard, le voilà à Paris, sur un quai gelé de la gare d'Austerlitz. Il rencontre Jean-Claude Mbouvim, le président de Foot solidaire, une association qui souhaite lutter contre le trafic des joueurs africains. Il aidera le jeune gar?on les premiers jours avant qu'il ne soit totalement pris en charge par l'aide sociale à l'enfance. Mais son calvaire n'est pas fini.A cette époque, l'histoire de cet ado - que Le Monde avait relatée dans son édition du 22 décembre 2009 - interpelle le milieu du foot fran?ais. Vincent Labrune, alors président du conseil de surveillance de l'Olympique de Marseille, lui propose de faire un essai à l'OM. Son potentiel peut l'intéresser : Yannick a été l'attaquant des Lions indomptables des moins de 17 ans au Cameroun.Lisandro fait une déclaration d'amour à Lyon.
Il tape dans l'oeil de José Anigo, le directeur sportif, mais il est "difficile de juger un footballeur qui joue sur une jambe", avait estimé celui-ci. Yannick découvre qu'il est touché au genou gauche. Les médecins de l'OM lui font passer une échographie et découvrent une microdéchirure. Cette légère blessure va le handicaper un très long moment.Aujourd'hui, le gar?on n'est plus en situation irrégulière et possède une carte de séjour d'un an renouvelable. Il a un studio à Marne-la-Vallée (Seine-et-Marne) et passe une formation de cariste et chauffeur-livreur. "C'est en attendant que j'aille mieux", explique-t-il. Il a rencontré des spécialistes du genou, mais personne n'a su le guérir. Un médecin lui a même proposé, cet été, de l'opérer gracieusement. Mais, le jour de l'intervention, Yannick ne s'est pas présenté.

2012年2月6日星期一

Lisandro fait une déclaration d'amour à Lyon

Répondant au site officiel de la Ligue de Football Professionnel dans sa version anglaise, Lisandro a confié tout le plaisir qu’il avait d’évoluer sous le maillot de l’Olympique Lyonnais, renvoyant à plus tard son désir de rentrer en Argentine. Une déclaration qui va évidemment combler d’aise les dirigeants et les supporters de l’OL.Intersport débarque Betclic du maillot de l'OM!

? Pour le moment, je suis ici en France et chaque jour qui passe je me sens plus heureux. J'aime Lyon, je me sens dans ce club comme à la maison, mais j’ai toujours le désir de rentre un jour en Argentine, pour de nouveau être avec mes proches. Mais je suis encore plus heureux maintenant que lors de ma première saison  à l’OL, je me sens très bien accueilli au sein du club et dans la ville, et vivre en Europe est désormais plus facile pour moi ?, a confié le buteur argentin de l’Olympique Lyonnais.

Parmi les images d’anthologie proposées aux visiteurs de l’exposition, l’une des premières finales de Coupe d’Alsace, en 1951, entre le Racing amateurs et le FC Mulhouse à Bourtzwiller. Mais aussi des extraits d’un match – mythique, sans nul doute – entre Mundolsheim 2 et Mars Bischheim 2 où les 22 joueurs entrent, puis sortent d’un bistrot à l’enseigne Perle Bock, avant d’aller s’expliquer sur un terrain proche du champ de patates…