2012年7月26日星期四

A Toulouse et a Bordeaux, le maillot avait une vraie valeur

Amitiés, montées, maintiens... Anthony Bancarel, 41 ans, se souvient de ses passages au Stadium et à Lescure (ancien Chaban-Delmas), chez les meilleurs ennemis de la Garonne.Toulouse, c'est avant tout une histoire d'amitié. Je n'oublierai jamais la remontée en L1 avec les Pitchouns (2001-03), mais je me souviens aussi qu'avec Micka?l Debève, qui jouait avec moi lors de mes premières années au Tef' (1989-95), nous avions une belle bande de potes : Pavon, Barthez...

On s'entra?nait ensemble, on jouait, on sortait. Désormais, on collabore avec ?Mika? (1), mais on se voit toujours en dehors. Dans ces deux clubs, l'humain a toujours pris une place prépondérante. Le maillot avait une vraie valeur. Mon plus beau souvenir, c'est un but dès la 14e seconde contre Bordeaux, justement, qui nous assure le maintien en 1993 !

Le grand écart que j'ai per?u en Gironde (1994-96), c'était l'approche des grands matches. Il y avait un véritable vécu européen. Exemple, en 1995 à Volgograd (Russie), où nous avions attendu plusieurs heures nos bagages à l'aéroport... Ensuite, il n'y avait pas d'eau dans le vestiaire. Et, pourtant, les dirigeants restaient très pros, sereins. L'habitude. Dans ce groupe, il y avait Lizarazu, Zidane, Dugarry, Witschge.

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